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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 07:09

SALON LYON FANTASY

 

le samedi 7 juin 2014 de 9 h à 20 h au Daily Happy Food (proche Part-Dieu)

 

LA PAROLE AUX AUTEURS: AURELIE MENDOCA, G.N. PARADIS et STEPHANIE LECOURT

 

Flyer recto

Chers amis,

 

Le 7 juin 2014 aura lieu le Salon Lyon Fantasy, premier véritable salon du livre Fantasy à Lyon, co-organisé par le café-restaurant Daily (près de la Part-Dieu, 234 Cours Lafayette, 69003 Lyon) et moi-même!

 

Alors que l'événement approche, j'ai décidé de laisser la parole à chaque auteur afin qu'il se présente à vous en répondant à trois petites questions, avec aujourd'hui Aurélie Mendoça, G.N. Paradis et Stéphanie Lecourt.

 

 

 

Voici l'intervcouv-aurelie-mendoca.jpgiew d' Aurélie Mendoça:

" 1-Qui êtes-vous? Quel est votre parcours?

Je suis Aurélie Mendonça, auteure presque trentenaire curieuse de tout, mais souvent trop fainéante pour aller jusqu'au bout. J'ai poussé la porte du monde de l'édition en 2010 avec un roman historique, puis j'ai continué avec une trilogie fantastique et quelques nouvelles par ci par là.

2-Quels livres présenterez-vous au salon?

J'aurai avec moi les deux premiers tomes de ma série "Tarots Divins", "La Sanguinaire" et "Le Voyageur". Une série qui suit les pas d'Elizabeth, ancienne chasseuse de vampires devenue la reine de ces créatures afin de se venger de ses anciens amis.

3-Quelle est votre vision de la Fantasy?

Une étendue infinie de possibilités.

 

 

Vient ensuite celle de G.N. PARADIS:

« 1-Qui êtes-vous? Quel est votre parcours?

Artiste-auteur invisible de S+3F, mon superpouvoir m’a permis de me glisser dans la jungle au-delà du mur éditorial. Au sein de ce nouveau monde où chaque pas ressemble au dernier, il m’a fallu enchanter l’espace temps avec mes livres fantaisystes, rédigés à un âge de rébellion silencieuse. Fan des littératures de l’imaginaire, de jeux vidéos, de manga et d’anim’, jeux de rôle et de plateaux, j’ai toujours eu à cœur de partager cette passion avec autrui. Après un bac L, je me suis orienté vers une filière cinématographique et littéraire. Je voulais développer mes compétences narratives, notamment scénaristiques. J’ai ensuite persévéré dans le but très pur de diffuser mes histoires, d’être écrivain et d’en faire mon métier. L’écriture est tout simplement mon souffle vital, mon oxygène ; sans, je dépéris à petits feux. Quant à mon statut professionnel, ma foi, je jongle et je rame avec des épées et des boules de feu, comme la plupart des Protecteurs au sein du monde d’Andalénia – et de tout mage qui se respecte.

2-Quels livres présenterez-vous au salon?

Je présenterai la saga de la Danse du Lys, tome 1 et 2, l’histoire d’une famille de Protecteurs exilés sur Terre suite à quelques intolérances collégiales. Sans trop en révéler, leurs ancêtres ont causé pas mal de chamboulements dans le royaume d’Adalante. A noter aussi, avant le résumé du Ier tome, que la Danse du Lys se veut être de la fantaisy décalée, à tendance humoristique, horrifique et épique. Je voulais rendre hommage, lors de son écriture, à la fantasy, tout en fustigeant une partie de notre réalité. En conséquence, vous rencontrerez des personnages qui n’apparaissent pas souvent dans les univers fantastiques. Et surtout, un anti-héros qui rame face à des ennemis de plus en plus coriaces, ne se prend pas aux sérieux, et réfute toute idée prophétique le désignant comme l’élu. A la base, il souhaitait juste retrouver son père disparu dans d’étranges circonstances. Autre concept intéressant, il n’est pas orphelin ! Et lorsqu’on voit de quoi sa mère, sa sœur et son cousin sont capables, on comprend tout l’intérêt d’avoir du monde à ses côtés face aux aléas de l’existence et à des armées démoniaques. « Au centre d’Andalénia, bat le Lys, le cœur du monde, situé au-delà de l’espace et du temps. Son énergie se diffuse à travers une Toile Arachnéenne, fournissant magie et protection aux vivants. Quelques millénaires plus tôt, les humains s’exilèrent sur cette terre pour échapper à la guerre, aux naufrages et aux horizons noirs d’une vie sans rêve. Ils se répandirent sur l’immense continent d’Exodus et fondèrent de nombreuses nations. L’une d’elles en particulier, Adalante, fut le berceau de l’humanité, le théâtre des Grandes Guerres des Ténèbres et le lieu où la mort fut stoppée… Pour un temps. Unis, la famille Vivlar et leurs alliés parcourent leur monde d’origine avec émerveillement. Mais complots, enlèvements et meurtres secouent le royaume affaibli par la disparition des Protecteurs. Ainsi, Tristan et Marlyssa apprendront leur première leçon : seul, ils n’arriveront qu’à retarder l’incendie face aux Frères des Démons, aux Chevaliers de la Vengeance et aux créatures monstrueuses qui les accompagnent. La Caste des Protecteurs doit renaître – or une seule personne est capable d’en prendre la tête ; seulement voilà, elle n’en a pas la moindre envie… »

3-Quelle est votre vision de la Fantasy, de l’imaginaire?

Lorsque j’étais très jeune et très naïf, je voulais devenir un héros. Rien de bien original. Frustré dans mes tentatives ratées d’exploits héroïques, j’ai décidé de créer des mondes, des personnages et des concepts qui n’existaient pas. La fantasy était toute désignée – et mes premières découvertes de jeunesse, tant en termes de jeux vidéos, films et livres, m’ont fait apprécier le genre et la lecture, et encouragé à suivre la voie de la plume. Aujourd’hui, j’ai l’impression que le style s’est un peu enlisé, qu’on fait de la fantasy facile, sans conviction, très limitée. Ma vision est claire : avec la fantasy, nous pouvons rêver, élaborer d’autres modes de pensées, pointer du doigt le fait que notre monde n’en est qu’un parmi tant d’autres. Que notre réalité n’est qu’une couche de peinture sur des millions de milliards d’autres sur une surface infinie. Je ne fais d’ailleurs qu’en explorer un infime fragment, que je partage ensuite à travers mes histoires. Par le biais de la fantasy, je reprends aussi certains éléments de notre monde, que je transpose, métaphorise, à travers des personnages, des interactions, des mondes entiers, dans un but dénonciateur, revanchard (un peu :P) et social. Parce que je pense que nous sommes en mesure d’imaginer nos civilisations, nos sociétés autrement. En fin de compte, je suis toujours ce gamin crédule qui songe que ce qu’il voit, entend, ressent, expérimente, peut évoluer en mieux. J’écris donc ma fantasy, d’après mon vécu, celui de certaines personnes que je connais et la réalité que j’expérimente jour après jour. Le moteur de la vie, c’est l’imagination, son énergie, le désir. D’où ma conclusion, l’imaginaire, c’est vous, c’est moi, c’est l’humain qui s’épanche derrière la plume, l’humanité consciente d’elle-même. Presque une philosophie de vie. Plus trivialement, c’est le singe qui a levé la main vers les étoiles, s’est aperçu que c’était la sienne et qu’au-delà, ce n’était pas lui. Et qu’à défaut de toujours deviner ce qui l’attendait au-delà, l’a imaginé. Enfin, nous ne sommes pas encore en mesure de voyager à travers l’univers, alors il faut bien que quelques personnes vous y emmènent… Je vous invite à découvrir mes autres œuvres, La Dernière Humaine, Lunombre et la suite de la Danse du Lys sur le net. Et en attendant, je vous prépare d’autres découvertes spatio-temporelles, qui je l’espère, vous donneront envie d’expérimenter autrement ou peut-être, de créer à votre tour. Bons partages et bonne lecture – que les rêves s’invitent dans votre vie. Merci à Simon Oeriu qui m’a permis de m’exprimer sur son blog et qui a organisé cet événement du Lundi 7 Juin, très fantasy, sur Lyon. A vos agendas. »

 

Enfin, quelques mots de présentation de Stéphanie Lecourt:

10infos-stephanie-lecourt_n.jpg

 

 

 

 

 

 

 

Simon Oeriu

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